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Spank The Beat : la fin.
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il y a 20 ans 6 mois #2362
par Speedloader
Tant qu'à se lécher entre grosses putes, autant jouir comme des cochonnes.
Spank The Beat : la fin. a été créé par Speedloader
Spank The Beat, c’est fini.
7 soirées qui ont tourné vite fait gabber > speedcore (ah ça de la fessée, y en a eu de la fessée), dans un club, le Gibus, lieu aussi improbable que les ambiances résultant du programme décrit.
Merci aux fidèles nous ayant accompagné et dont l’enthousiasme fut heureusement contagieux : les connus (U know who U are muthafukkas) et les inconnus qui l’étaient un peu moins à chaque édition tout en étant de plus en plus nombreux. C’était familial, œillades et sourires en coin, c’était bon.
Merci au public : celles et ceux qui lançaient le dancefloor sur un mix techno, celles et ceux qui criaient sur des beats gabber, celles et ceux qui réclamaient la suite le poing levé après du gros speedcore après que les lumières eussent été rallumées.
Merci aux esthètes de tous poils qui par leurs commentaires et attitudes avisés ont permi d’affûter le trait.
Merci aux artistes, qui ont compris les enjeux et dont certains ont surmonté leurs réticences à jouer au Gibus : AK47, Armaguet Nad, Axiom, BudBurnerz, Dar, Guiz-öhM, Helius Zhamiq, Kaf, Moleculez, Neokoros, Nitric, Positive Pitch, Regulator, Tense, The Vizitor, TSX, Vidda, Ybrid, Yoni Khan. Tous : jolie musique, joyeux feeling, gros niveau, super contact.
Merci à Dominique d’avoir tenu l’accueil avec le sourire © Mozinor 1991.
Merci à Psycko, graphiste des flyers, sans qui ces soirées n’auraient pas eu la même gueule.
Merci à Sébastien et Cyril (staff Gibus) d’avoir assuré un son convenable.
Merci à Jean-Jacques, parrain malgré lui.
Oui : dans un club. Oui : au Gibus. Oui : personne n’y croyait.
MERCI À TOUS D’AVOIR MONTRÉ QUE C’EST POSSIBLE DE SE MARRER À PARIS
Bagheera, c’est trois personnes : Etree (live), Yaum (DJ), Speedloader (DJ – votre serviteur).
Ô PARIS ! TON CORE EST BON QUAND IL EST HARD
7 soirées qui ont tourné vite fait gabber > speedcore (ah ça de la fessée, y en a eu de la fessée), dans un club, le Gibus, lieu aussi improbable que les ambiances résultant du programme décrit.
Merci aux fidèles nous ayant accompagné et dont l’enthousiasme fut heureusement contagieux : les connus (U know who U are muthafukkas) et les inconnus qui l’étaient un peu moins à chaque édition tout en étant de plus en plus nombreux. C’était familial, œillades et sourires en coin, c’était bon.
Merci au public : celles et ceux qui lançaient le dancefloor sur un mix techno, celles et ceux qui criaient sur des beats gabber, celles et ceux qui réclamaient la suite le poing levé après du gros speedcore après que les lumières eussent été rallumées.
Merci aux esthètes de tous poils qui par leurs commentaires et attitudes avisés ont permi d’affûter le trait.
Merci aux artistes, qui ont compris les enjeux et dont certains ont surmonté leurs réticences à jouer au Gibus : AK47, Armaguet Nad, Axiom, BudBurnerz, Dar, Guiz-öhM, Helius Zhamiq, Kaf, Moleculez, Neokoros, Nitric, Positive Pitch, Regulator, Tense, The Vizitor, TSX, Vidda, Ybrid, Yoni Khan. Tous : jolie musique, joyeux feeling, gros niveau, super contact.
Merci à Dominique d’avoir tenu l’accueil avec le sourire © Mozinor 1991.
Merci à Psycko, graphiste des flyers, sans qui ces soirées n’auraient pas eu la même gueule.
Merci à Sébastien et Cyril (staff Gibus) d’avoir assuré un son convenable.
Merci à Jean-Jacques, parrain malgré lui.
Oui : dans un club. Oui : au Gibus. Oui : personne n’y croyait.
MERCI À TOUS D’AVOIR MONTRÉ QUE C’EST POSSIBLE DE SE MARRER À PARIS
Bagheera, c’est trois personnes : Etree (live), Yaum (DJ), Speedloader (DJ – votre serviteur).
Ô PARIS ! TON CORE EST BON QUAND IL EST HARD
Tant qu'à se lécher entre grosses putes, autant jouir comme des cochonnes.
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- baboon
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- Uni Par Le Vin !
il y a 20 ans 6 mois #2363
par baboon
Réponse de baboon sur le sujet Re: Spank The Beat : la fin.
et c pas reconduit ?
j'avais compris ca moi !
j'avais compris ca moi !
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- Speedloader
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il y a 20 ans 6 mois #2364
par Speedloader
Tant qu'à se lécher entre grosses putes, autant jouir comme des cochonnes.
Réponse de Speedloader sur le sujet Re: Spank The Beat : la fin.
Attention : ce n'est pas parce que je ne dis pas que c'est reconduit que ça ne l'est pas. Ou l'inverse.
Tant qu'à se lécher entre grosses putes, autant jouir comme des cochonnes.
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- gringho
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il y a 20 ans 6 mois #2368
par gringho
Réponse de gringho sur le sujet Re: Spank The Beat : la fin.
donc ca veut dire quoi alors ???Attention : ce n'est pas parce que je ne dis pas que c'est reconduit que ça ne l'est pas. Ou l'inverse.
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- lo_ol
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il y a 20 ans 6 mois #2383
par lo_ol
~~~~~ mAkE SoME fuCKiNg NoIsE ~~~~~
Réponse de lo_ol sur le sujet Re: Spank The Beat : la fin.
ne voulant pas faillir à la coutume de la chansonnette qui s'est peu à peu imposée sur les faux rhums, en voici une petite dernière en guise d'hommage warning: HIGH voltage!
Et maintenant que vais-je faire
De tout ce temps que sera ma vie
De tous ces gens qui m'indiffèrent
Maintenant que tu es partie
Toutes ces nuits, pourquoi pour qui
Et ce matin qui revient pour rien
Ce cœur qui bat, pour qui, pourquoi
Qui bat trop fort, trop fort
Et maintenant que vais-je faire
Vers quel néant glissera ma vie
Tu m'as laissé la terre entière
Mais la terre sans toi c'est petit
Vous, mes amis, soyez gentils
Vous savez bien que l'on n'y peut rien
Même Paris crève d'ennui
Toutes ses rues me tuent
Et maintenant que vais-je faire
Je vais en rire pour ne plus pleurer
Je vais brûler des nuits entières
Au matin je te haïrai
Et puis un soir dans mon miroir
Je verrai bien la fin du chemin
Pas une fleur et pas de pleurs
Au moment de l'adieu
Je n'ai vraiment plus rien à faire
Je n'ai vraiment plus rien ...
Et maintenant que vais-je faire
De tout ce temps que sera ma vie
De tous ces gens qui m'indiffèrent
Maintenant que tu es partie
Toutes ces nuits, pourquoi pour qui
Et ce matin qui revient pour rien
Ce cœur qui bat, pour qui, pourquoi
Qui bat trop fort, trop fort
Et maintenant que vais-je faire
Vers quel néant glissera ma vie
Tu m'as laissé la terre entière
Mais la terre sans toi c'est petit
Vous, mes amis, soyez gentils
Vous savez bien que l'on n'y peut rien
Même Paris crève d'ennui
Toutes ses rues me tuent
Et maintenant que vais-je faire
Je vais en rire pour ne plus pleurer
Je vais brûler des nuits entières
Au matin je te haïrai
Et puis un soir dans mon miroir
Je verrai bien la fin du chemin
Pas une fleur et pas de pleurs
Au moment de l'adieu
Je n'ai vraiment plus rien à faire
Je n'ai vraiment plus rien ...
~~~~~ mAkE SoME fuCKiNg NoIsE ~~~~~
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- gringho
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il y a 20 ans 5 mois #2401
par gringho
Réponse de gringho sur le sujet Re: Spank The Beat : la fin.
ANTI CHRIST DEVIL CHILD en haute tension sur l autoroute de l enfer
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